mad.about.you.math

Un ptit aperçu de ma chambre? D'accord ^^








La classe le portable ^^











Ca vous aide pas? Tant pis, ceux qui la connaissent s'y retrouve non?

J'ai deux amours...

















































La Heineken

Est-ce que j'existe encore pour elle?

Se rapelle t-elle que je suis encore la

Et que je ne l'oublie pas?

Se rapelle t-elle de notre rencontre?

Se rapelle t-elle de la façon dont on a appris a se connaitre?

Se rapelle t-elle de la fois ou elle a pleurer dans mes bras?

J'ai l'impression de l'embêter...

De lui faire obstacle, de l'ennuyer quand je lui parle...

Dit le moi si je t'emmerde surtout!

Je veux te voir, c'est tout ce que je veux...



Could you just understand that?

A la fin des cours j'attend dehors. Il pleut. J'ai emmener mon parapluie et il peut alors je suis contente. J'attend une demoiselle. Des gens viennent vers moi et je deviens leurs amies. Enfin c'est mon parapluie qui les interessent. Bande d'humains méprisable. vous êtes de sacrés faux cul quand vous le voulez. Sa ne marche pas.
Après les cours je prend le tram, pour aller a commerce, tout ce qu'il y a de plus normal, j'attend le tram entouré de gens "normaux" mais que j'apellerai toujours décallé par rapport a moi...
Un boulet, qui ne s'est jamais remis que je lui ai dit "peace" a la place de dire "au revoir", m'appelle par ce surnom très recherché qui consiste a m'appeller "peace", en me demandant de lui preter mon parapluie. Moi je feinte le détachement et la surdité, je passe a peine mes yeux sur lui. Il fini par venir me voir et me dit bonjour comme tous les jours en m'appellant "peace". Une de ses copines est la aussi. Ils me demandent comment je vais. Desinvolte je repond simplement "normal". Quoi de plus normal que de répondre "normal"? Et la le monsieur me dit que j'ai toujours l'air défoncé. Sa fait super plaisir quand on a presque jamais touché a une cigarette ou a une bedos. Il insiste. Il ne me croit pas. alors je repond tout naturellement que je ne fume pas et que je ne bois pas, du moins pas régulièrement. Non merci je ne suis ni drogué ni alcoolo. Et la sa copine aux yeux bleus semble outré de ma réponse. Quoi de plus normal de ne pas boire ni fumer régulièrement? Ils s'en vont, je ne les interessent pas.
Le tram arrive je monte dedans mais je reste debout. Une idée me vient: j'ai envi de prendre en photos toutes les converses original que je vois. Je n'ai pas d'appareil photos. C'est dommage car une demoiselle a de très jolie converses arc-en-ciel. La demoiselle s'en va. Je prend sa place. J'ai mon parapluie tordu et tout mouillé a moitié replié dans les mains et mon sac de cours sur les genoux.Voilà mon arret: "Commerce"
Je descend et je file a la Fnac, dans l'espoir de trouver le manga que je cherche depuis 2 semaines, car mon frère l'a caché derrière les autres manga. Je le trouve. Je m'assoie par terre et je lis. DREAN LAND Dualité tome2. J'arrive au milieu du manga quand une demoiselle vient gentiment me demander ainsi qu'aux autres mangaddict d'aller nous assoir dans le forum, et de nous assoir sur des chaises prevu a cet effet. Je m'execute. Demandé si gentiment.Je travers le second étage, mon manga et mon portable a la main, mon sac sur le dos. Je m'assoi sur une chaise. Je continu mon manga. Je recois un sms de vianney. Il n'a pas encore regardé les horaires de bus, il ne sait pas quand est ce qu'il va venir. Je finis mon manga. Je vais le reposer a sa place, parce que je sais a quel point c'est ennyeux quand les livres sont mélangé. J'ai très faim. J'ai envi d'un panini, comme toujours. Je marche jusqu'au Ticoon. Il pleut toujours. Je sors mon parapluie tordu. Je prend un menu à 5€: Un panini au poulet, un perrier et un cookie. Je fais le tour de de la place de Commerce. Des gens installe des espèce de chapiteau blanc pour la semaine de la sciences. Je finis par me résigner a m'assoir quelque part pour manger mon panini qui me chauffe les doigts. Je vais sous un abris de bus. Un pigeon passe et essai de manger un chewing gum collé au macadam. Ce que c'est con un pigeon. Puis des petits moineau viennent mendier devant moi. Ils sont mignon. Ils ont plus d'humanité dans le regard que certains humains eux-même. Je leur jettent des miettes. Ils ont l'air content. Cela dure au moins 10 minutes. Puis je me rend compte que j'ai bientot finis mon panini. Je commence mon cookie. Il est bon et encore un peu chaud. Le même pigeon passe et essai encore de picorer le même chewing gum. Toujours aussi pitoyable. Je m'essuie la bouche et je vais mettre mes papiers a la poubelle. Vianney me dit qu'il arrive bientot. J'attend. Puis je rentre dans la Fnac encore une fois. Je regarde les CD. Au rayon je croise des garçon de mon lycée. Je crois qu'ils sont au collège. J'aime beaucoup le sourire de l'un d'eux. Ils parlent du dernier album de Black Bomb A. Moi je regarde les album de Sepultura, sans trouver la chanson que je cherche. Ils s'en vont. Je fais le tour du premier étage plusieurs fois. Vianney m'appelle. Il arrive. Je descend (en bas ---> pléonasme, qui rime avec ?) Je relis pour la 4e fois la première page du dernier Nothomb, Journal d'hirondelle. Vianney ne vient pas. Je sort. J'attend. Enfin je vois Vianney. Retrouvaille. Bises. On va acheter un livre dont il a besoin pour le lycée. Le parfum.
On se promène dans les magasins de musique, dans les magasins de vêtements et de gadgets, on enchaine les blagues pas drôles, on discute de tout et de rien. Je passe l'après midi avec celui qui m'a fait changer de personnalité et qui m'a appris a me foutre du regard des autres. Je le remercie comme je peux. Il ne sait pas a quel point il m'a fait changer. Il n'imagine même pas. On retourne a la Fnac, parce qu'il y fait chaud et soleil. on regarde les livre, on s'emerveille devant des livres de photos. Il va se mettre à la photo. Je vais m'acheter un goûter a la mie caline, toujours sous mon parapluie tordu. Un super cookie. Je reviens et on va finalement devant le forum pour attendre que les portes s'ouvre. Concert annulé. C'est ce qui est placardé sur l'affiche. Deception et puis détachement. C'est pas grave on a quand même passé un agréable après midi. On sort. Je vais devoir partir. Coup de téléphone au frère, qui viendra chercher son cadet sous l'arrêt de tram où on se trouve. Le tram arrive. Bise en coup de vent. Je monte dans le tram et je m'assoi dans un carré de 4 sièges. A Bouffay un monsieur s'assoie a coter de moi. Il s'en mauvais. Une dame aux cheveux plaqué est en face de moi et regarde de haut en bas le monsieur, avec un air pincé. Le monsieur change de place. Je detourne les yeux puis je regarde a nouveau la dame aux cheveux couvert de gel. Elle affiche un sourit radieux quoiqu'il ne laisse pas entrevoir ses dents. Le tram ne va pas jusqu'a mon arret. Je dois descendre. Un tram arrive juste après. Je monte. Je ne m'assoie pas, mon arret n'est plus très loin. Je m'excuse pour arriver jusqu'a la porte. Je caresse le petit bouton et je sort. J'ouvre mon parapluie même s'il pleut a peine. J'entend des filles discuter. L'une des 2 a les cheveux rouge et le bras bandé. Elle est au téléphone. Je ne la connais pas. Elle a l'air d'avoir une grande gueule. Cela cache sans doute sa peur des autres. Elle ne doit etre très aimé. Je l'enregistre sur mon mp3. Une demoiselle, en cap coiffure je suppose, car elle parle d'un tête a coiffé nommé Caroline, arrive et prend par a la discution passionante. Je cesse de les écouter. Je dort dans le car et j'ai mal a mes petits pieds. La radio gresille dan mes oreilles. Mon frère a de nouvelles fenêtre dans sa chambre.