Mercredi 3 octobre 2007 à 13:52

Ca devient tellement trop banal de laisser des commentaires. Trop cliché, trop basique. Même si le "lach t comz" a un peu disparu, du moins je l'espère, je trouve ça trop. Voilà, moi j'te laisse un article plutôt qu'un commentaire. Même si au final ça revient à dire la même chose, même si j'ai l'impression de dire ce que j'ai déjà lu dans d'autres commentaires de gens que je ne connait pas ou même si j'ai l'impression de l'avoir déjà dit. Tant pis. En fait les autres je m'en fous. C'est vrai que je suis jalouse pour un rien et que ça me tue, et que j'aimerai avoir des amis pour moi toute seule. Je sais que ce n'est pas possible, et puis au fond ce ne serait même pas vivable. Mais j'ai toujours cette impression de devoir prouver que moi j'aime plus. Prouver que moi je suis plus importante. C'est d'une prétention démeusuré, je le sais bien. C'est mon côté d'égoïste posséssive qui parle. Tant pis, j'essaie de ne pas penser qu'il y en a d'autre. Alors juste un petit soupir devant cette photo (si tu permet le lien), parce que je sais pas. Ca fait tellement plaisir. Plaisir de voir que ça n'arrive pas qu'aux autres, plaisir de voir du bonheur autour de soi, plaisir de savoir. Je sais pas. Woaw comme dirait Claire par rapport à l'article précédent. Ca donne envie de retomber amoureux. Parce que depuis on a un peu tendance à se méfier.
Alors allons-y, toujours dans les clichés, mais quand on le pense, tu vois, ça fait pas pareil, parce que des "jtm" à tout va sur les blogs "kikoolol" y en a. Parce que des filles qui se cassent du sucre dans le dos à des filles qu'elles "zaim'" ça existe aussi.
Marie
je t'aime tellement, mais bon je pense que tu le sais.

Mardi 19 juin 2007 à 2:06

On comprend pourquoi les No-Life passent des bonnes soirées. J'ai passé la soirée à discuter au micro. Je n'avais pas ris autant depuis très très longtemps. Pour de vrai. Benoît. Qu'est-ce que j'aurai fait sans toi, durant toute cette année? On a fait un grand pas ce soir. Parce que maintenant je sais. Enfin. C'a été long. Elle ne se rend pas compte. Non, ça c'est sur. De la chance qu'elle aurait de t'avoir. Parce que tu es tellement exceptionel, tellement différent, tellement. C'est comme ça. Mâdâme préfère te placer à une place qui n'est envieuse à personnes, je le sais mieux que quiquonc. C'en ai presque révoltant. Et oui elle est conne, mon Dieu, qu'elle est conne. Moche, non. Je ne trouve pas. Et arrête d'essayer de t'en persuader. Ca ne sert a rien de se voiler la face. Ca ne fait pas avancer les choses. Je comprend. Je te comprend. Mon opinion et ma solicitude ne te sont probablement d'aucune utilité mais... PUTAIN! Ca m'énerve, mais passons. Passe une bonne soirée jeudi. Je te le souhaite. Je ne sais pas quoi faire pour essayer d'améliorer l'image que tu peux avoir de moi, elle doit être si pitoyable, si affligeante, encore et encore, dès qu'on discute. Je suis une horrible personne parfois. Je sais l'être sans doute plus que d'autre. Si tu n'as pas compris que je t'aimais beaucoup après ça, que tu comptais beaucoup pour moi et que ça me rend complètement malade quand tu ne vas pas bien (c'est à dire un peu... souvent), alors je ne peux plus rien faire. Parce que ce genre de sentiments et de sensation sont intranscriptible sur un minable article de blog, limite à l'eau de rose. On fait ce qu'on peut.





Mardi 19 juin 2007 à 0:28

J'aime. <3
Celle là pour Lui*
Toujours Pareil
Je ne me soucie pas de tes origines, tant que tu viens vers moi,  mais je n'aime pas les impressions, je ne peux pas les déchiffrer clairement. Je m'en fous, non je n'oserai pas instaurer la confusion dans ton esprit. Tu m'as montré ce que tu valais par la suite, ça ne me regarde pas .Je ne m'en inquiète pas, tant que tu es là.  Vas-y dis-moi encore que tu partiras,  tu reviendra juste en courant, en portant ton coeur blessé dans la main.  C'est toujours pareil. Et je te prendrai pour ce que tu es, si tu me prends tout entier(e). Et on recommencera à zero. C'est toujours pareil. Les heures défilent et les jours passent,  jusqu'à ce que tu te decides à venir. Et entre ces deux moments ça semble toujours trop long pour certains mais j'ai le talent, oui j'ai l'intention  de te redonner du courage, tant que je peux. Quelque soit le temps que tu restes, c'est tout ce que je suis. Ca ne me regarde pas, je ne m'en inquiète pas. Tant que tu es là  Vrai ou faux  Noir ou blanc. Quand je ferme mes yeux, c'est pareil. Dans la vie, des compromis mais quand je ferme les yeux. C'est toujours pareil.

Celle ci pour Elle*
Comment sauver une vie
Premièrement, tu dis que nous avons besoin de parler. Il avance, tu lui dis de s'asseoir, c'est juste une discussion. Il lui sourit poliment. Tu le fixes poliment, plongeant ton regard à travers le sien. Il y a une sorte de fenêtre à votre droite. Alors qu'il va à gauche tu restes là sans bouger, entre les limites de la peur et de la honte, tu commences à te demander pourquoi tu es venue. Où ai-je fais une erreur? J'ai perdu un ami. Quelque part avec un sentiment d'amertume. Je serais resté éveillé toute la nuit à tes côtés, si j'avais su comment sauver une vie. Fais lui savoir que tu sais mieux, car après tout tu sais vraiment mieux. Essaies d'oublier sa justification, sans lui accorder l'innocence. Fais une liste de ce qui ne va pas parmi les choses que tu lui as dit du début à la fin. Alors qu'il commence à lever la voix, tu baisses d'un ton et lui accordes un dernier choix. Conduis le jusqu'à ce que tu perdes ton chemin ou finis en avec ceux que tu as toujours suivis. Il choisira une des deux options: Il admettra tout ou il dira qu'il n'est simplement plus le même. Et tu commenceras à te demander pourquoi tu es venue.


Mercredi 13 juin 2007 à 8:40

Putain nan mais surtout dites le si je dérange! Ou c'est peut-être encore ma paranoïa qui fait que je prends tout pour moi, je dois être trop égoïste, sans doute. Elle a très bon dos la paranoïa, vous trouvez pas? Alors bon, on va être clair, même si ça me fait chier, même si j'aimerai bien savoir ce qui se passe dans vos petites têtes, même si j'aime savoir comment vous allez, et pourquoi, et à cause de qui, et grâce à qui, TANT PIS, désormais je m'en fous. Vos petites vies, je m'en fous, vos amours, votre bonheur et votre malheur, c'est pas mes affaires, c'est sans doute parce que CA NE ME REGARDE PAS. Alors c'est dit, c'est comme ça. Vivez dans votre coin, c'est votre choix, puisque tout cela ne me concerne pas.
Okay, c'est pas grave, laissez tombé
Nan mais c'est vrai quoi...

A Marie, à Sophie, à Benoît,
sans doute avec un degré différent,
mais toujours avec l'impression de gêner un peu...

Hebergeur d'image - Mabul.org
[Enfin ce que vous semblez ne pas comprendre, c'est que jamais je ne permetrais de juger, si on me demande mon avis, je le donnerai volontiers, mais vos vies ne sont pas la mienne. Donc en fait moi je traduis comme un manque de confiance, remarque vous avez raison, je suis une personne si horrible qui n'a qu'un but dans la vie c'est de détruire ses amis. Il parait que j'aime ça en plus, que je fais ça "par pur plaisir"... Tant pis, moi j'me casse.]

Jeudi 7 juin 2007 à 18:18

Ma chérie. Mon petit rayon de soleil. Tu m'a aidé à passer tellement de mauvaise passe. Tellement de moments difficiles dans lesquels j'étais pas toujours aimable. Et rien que de t'imaginer toute seule, dans ta chambre, dépité en pleure, j'ai vraiment envie de te serrer dans mes bras, et te dire que c'est pas grave, même si je sais que ça l'est terriblement pour toi. Mais je ne ferai pas intrusion maintenant, car tu as sans doute besoin d'être seule, I guess so, mais je te l'ai dit, je le re-dis, n'oublie jamais, je t'en supplie, jamais, que pour quoique ce soit, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, je serai toujours là pour toi, comme toi tu as pu l'être pour moi. Si tu préfère que quelqu'un d'autre te réconforte, très bien, peu importe, loin de moi l'idée de le prendre comme un rejet personnel. Tu fais ce que tu veux, comme tu le sens, je veux simplement que tu aille bien, que tu aille mieux, que tu retrouve cette joie de vivre qui te caractérise, cette bonne humeur qui est tienne, et ce rire que j'ai toujours adoré. Reviens, mais pas trop vite...


Photo ici: Anatomy°Pics

[Elle de toi
C'est toi
J'aime
Je t'aime]

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