mad.about.you.math

C'est encore passé. Et je ne lui en veux même pas. Plus. Je sais, je dois être un petit peu bête. Un petit peu aveuglée, c'est sur. Mais tout finis par s'arranger. Ces lions, ils me tueront. Ce grand con de 45 ans qui n'a jamais été foutu de tenir une promesse. Lui non plus je ne lui en veux pas. Parce qu'ils sont fort ces enfoirés. 24 juillet, 1er Août, 10 août, 15 août. Jamais je ne pourrai vous en vouloir. C'est comme ça. 24 juillet parce que t'es tellement présent, et tu compte tellement, et j'aimerai tellement être là pour t'aider quand il le faut. 1er août, parce qu'il m'impressione tellement, parce que je le respect malgré tout, parce que son intelligence me tuera, parce que sa réparti est hors du commun, parce que je l'estime énormément. 10 août, parce que lui aussi a toujours été un héros, innaccessible et détaché, admirable, mystérieux. Parce qu'il a ce don comme les deux autres de ne pas se rappeler des anniversaires, parce qu'il est généreux et attentioné, mais pas toujours quand il le faut, parce que parfois on s'attend à son soutien mais c'est à ce moment là qu'il choisi de disparaitre. Et 15 août, parce que c'est tout pour moi, c'est lui et ça ne s'explique pas. Parce que c'est le plus jeune et c'est celui qui a encore beaucoup de chemin a faire avant de grandir. Grandir n'a pourtant rien a voir avec l'âge, c'est pas moi qui le dit, c'est Nick Hornby. J'étais parti pour décrire ma soirée, et me voilà a disserter sur ces personnes qui compte beaucoup pour moi. Les lions saccagent et détruisent, les taureaux ramassent les pots cassés. J'irai les voir, pas d'aussi près que ce qu'il m'avait dit, mais je les verrai. Je les rencontrerai un jour, et personne ne m'en empêchera. Je les rencontrerai, même si je dois aller à New York, a LA ou a Sidney, je leur parlerai, je les toucherai et ils sauront pendant 2 minutes qui je suis. Ils m'oublieront probablement qui je suis dans la seconde qui suivra, mais je veux qu'ils rencontrent une fois dans leur vie Marie-Marie. Je vais raconter ma soirée, j'étais parti pour faire ça au début. Comme d'habitude, c'était pas hyper bien parti. Il m'a soulé comme il sait si bien le faire. Il sait me rendre folle, mais pas toujours dans le bon sens.J'avais dis que je ne serai pas méchante, mais quand il est comme ça. Il a quand même été "mignon". Bisous. C'est son nouveau truc. Je dois admettre que ce n'est pas déplaisant pour quelqu'un d'aussi distant habituellement. Et puis il est resté dans son coin. A m'appeler de temps en temps. Je donnais l'impression que ça m'énervait, mais en réalité, j'étais contente qu'il me demande de l'aide. Et puis on est allé se coucher. Je les entendait de là où j'étais. Ils parlaient anglais, pour s'amuser. Et comme je m'ennuyais je suis aller les voir. Il m'a fait un câlin et on a discuté tous les trois. J'ai envie de partir, mais je sais que je ne les verrai pas, lui pendant 5 semaines. Et puis il était fatigué. Je ne savais pas si c'était pour de vrai, ou juste une stratégie pour endormir l'autre. Alors je suis allé me coucher, en me disant que c'était comme ça, et que finallement il était peut-être vraiment fatigué. La maison craquait. Et puis quelqu'un s'est levé. J'ai tendu l'oreille et ouvert les yeux. C'était lui, il est venu. Il a fermé la porte et éteint le petite lumière à côté du lit. Je suis resté dans ses bras un petit moment. Ca n'était jamais arrivé avant, qu'il soit si affectueux, sans rien de spécial derrière. Et puis bon. Il est fort, il est très fort. Après aussi je suis resté dans ses bras un petit moment. Et c'était bien. Il ne disait rien, il se remettait de ses émotions. Et puis je lui ai fait un massage du dos. "Après tout c'est à cause de ça que ça a commencé". Et oui. 1 an et 3 mois. Il pleut dehors, je crois et lui il dort, je crois aussi. Je ne me serai jamais arrêtée. C'était tellement agréable de le sentir détendu, presque endormi sous moi. Il ne répondait plus à mes questions. Il dormait, vraiment. Alors je me suis dis qu'il était peut-être temps d'arrêter. Il m'a complimenté, comme il le fait toujours. Et puis j'ai massé sa main gauche, abîmée, détruite, pleine de cloques et de peau mortes. Sa main de guerrier, sa main de guitariste. J'ai le pouvoir de l'endormir, c'est lui qui l'a dit. Et puis il s'est levé, boire un peu, regarder sa tête, que j'avais soignesement décoiffée. Et puis on s'est dit bonne nuit, un bisous sur la joue droite et un autre sur la joue gauche, ma main sur sa taille, et nos doigts se séparer.




But I know, no matter where we go
I'll never stop believing

So... Let's begin. Commencons par le début. Ou peut-être pas. Si on disait tout dans le désordres, histoire de perdre encore un peu plus les lecteurs dans ce brouillard de souvenirs? On a eu le temps de tout faire. Chamallows, m&m's, pizza, Despe. On a vraiment cru que ce serait uen soirée pourri. Et puis les gens sont arrivés, et puis ils ont tous commencé à discuter. Toi tu m'as dit que j'étais trop méchante, et je crois que je commence à m'en rendre compte. C'est devenu comme une habitude. Et ça me rend malade en fait. Parce que je voudrais me rattraper. Bref. On a commencé a manger les pizzas, jouer de la guitare et écouter de la musique. Y en a qui fumait. D'autre qui buvait de la bières. Parce qu'avec la bière, au moins, on se souviens de tout après. Et puis c'est pas bien méchant. Et puis tu étais gentil, bien plus que ce que je n'avais imaginé, car oui, malgré moi j'avais imaginé. J'ai encore compris autre chose. Et puis est venu l'heure de la piscine. 23h. Tu était adorable. Mais je crois que je vais arrêter de le dire, puisque tu l'as été toute la soirée. Il m'a prise dans ses bras plusieurs fois, et ça faisait plaisir de voir que même si d'habitude non, là oui. En sortant on avait froid et on s'est caché sous nos serviettes. On était vraiment gelé. Et puis tu t'es rhabiller, encore trempé, et comme on avait froids on est parti dans la chambre du bas. Il y avait Léa, toute seule. On s'est posé tous les trois sur le lit et on s'est reposé. Moi je ne faisait rien, car je n'ai rien a prouvé, car au fond ce qui se passait, ça m'étais égale, puisque je sais, puisqu'il n'est pas à moi et qu'il ne le sera jamais. Mais il me connait. Malgré tout. Et puis les gens sont arrivé. Dimitri s'est relevé et Benjamin est arrivé. Et c'est à ce moment que j'ai compris. Et puis vu que les autres voulaient regarder un film et que nous on prenait trop de place, il a proposé de partir. Moi j'étais en maillot de bain, lui il était trempé. On s'est isolé dans une tente et ce qui s'est passé nous regarde. Parce que j'ai pas envie d'en parler et parce que c'est tellement plus drôle de laisser planer un peu de mystère. Et de toute façon, ceux qui nous connaissent savent, alors pourquoi étaler tout ça quand tout le monde est plus ou moins au courant. On avait froid, tellement froid. On a finis par rentré, après une bonne demi-heure, peut-être plus, je ne sais pas. On a tenté de trouver des solutions pour rentrer. Et puis on s'est résigné, au bout d'un moment, puisqu'on savait vraiment pas comment faire. On a mangé des m&m's et moi j'ai dormis. Le film s'est terminé et on est rentré. Lui il était fatigué et il voulait dormir. Logique. Tout a fait logique. On a fait du feu et grillé des chamallows. Il était dans son monde, avec ma guitare. Plus tard il m'expliquera ce qu'il se passait dans sa tête à ce moment là. Et puis il est allé se coucher. On a été dans le garage et on a fait tourner un narguilé. C'était super bien. Avec des photos plutôt drôle. J'ai hâte de les avoir. Et puis après on encore été dehors et on a été dormir près du feu. D'autres dans les tentes. Et puis d'autres qui dormait pas. Avec Marie on a manger des céréales et un peu discuter. Même point de vu, même ressenti. Une bonne soirée, pour une soirée qui devait être pourri, entre autre à cause du temps. Et on a finit par aller dormir dans sa chambre, en écoutant de la musique. 3h. Vers 10h Léa est venu, je sais plus pourquoi. On a rangé. Lui, sans commentaire, toujours adorable même au réveil. Et puis les gens sont parti. J'ai été chez Dimitri et on a marché très longtemps, juste pour aller jusqu'à MacDo. Moi j'ai manger qu'une petite salade. Ca faisait plaisir de discuter avec lui. On a bien parlé, de plein de choses. Et c'est une fois qu'on a été chez lui et que l'heure tournait qu'il a commencé a être moins agréable. Parce que je dérangeais, je le savais bien. Je suis parti en faisant la gueule. Je savais pas où aller. Et j'ai finis par rentrer chez moi. Je m'en suis voulu d'avoir été commen ça, mais quand je pense. Putain! C'est encore Benoît qui a subit ma mauvaise humeur. Je lui ai envoyé un sms. Et il a finit par répondre qu'il m'en voulait pas. Ca n'a pas été plus loin. Je me suis endormi devant Desperate Housewives et mon puzzle. Et en écrivant cet article je me suis souvenu de mon rêve. Il me hantera donc toujours comme ça?

    Je me suis encore brûlé la langue. Ca fait mal, un petit peu. Ca m'apprendra à manger des lardons, normalement c'est pas conseillé. J'arrête pas de boire du thé. C'est la seule boisson que je bois. L'eau tout seul c'est triste, c'est fade. Le jus de fruits, c'est qu'au petit déjeuné, et le reste, je préfère pas trop en parler. Et pour l'alcool, de toute façon ça fait grossir. Je me suis levé tôt se matin, en pensant à mes 3e. Vous allez tous y arriver. Je pense bien à vous. 7h30. Et sans difficulté. Ca fait du bien de se lever quand il fait beau dehors. Petit déjeuné. J'ai pensé à Marie en mangeant mes Spécial K, chocolat noir. Juste un petit sms, histoire de dire que je suis là. Juste un, les autres j'étais pas inspirée. Mais j'y ai pensé quand même. Et puis Benoît qui a tenu sa parole. Il s'est levé tôt, lui aussi. T'as cru que t'allais me réveiller n'est-ce pas? Raté! Et puis hier, j'ai regardé Requiem For A Dream. Déjà vu. Toujours le même effet, toujours le même malaise. Alors pour équilibrer, j'ai regardé Hors De Prix. Quel magnifique film. On se sent tellement bien après ce film, tellement confiant, l'impression que tout va bien. Ca reste à prouver. Ca reste à voir...

Mais qu'est-ce que je fous! A quoi je pense!? Ce n'est pas ça l'idée! Tout ça ne doit pas être prévu! Restons adepte du"On verra bien"! Après tout, je peux très bien me passer de toi, et je ne dit pas ça pour essayer de me le prouver. Parce qu'en fait, au fond, s'il ne se passe rien, tant pis. Ca voudra dire que tu ne voulais pas, alors pourquoi forcer quelqu'un qui n'est pas en état psychique de faire quoique ce soit!? Bref, passons une bonne soirée, en présence de mes amis, en écoutant de la musique et des guitares, en discutant de tout et de rien, en buvant un peu, en riant beaucoup. Parce que quand on prévoit tout, il y a toujours la probabilité que tout foire en beauté, alors que quand on ne prévoit rien, on peut s'attendre à tout. Et c'est généralement le meilleur qu'il se produit. Cette fois peut-être pas. Après tout, on verra bien...




Ouai, j'ai envie de mettre des coeurs!
Il parait qu'il faut que je soigne ma présentation ^^
Alors d'accord, je fais ce que je peux.

Bon j'expliquerai pas pourquoi je vais mieux. De toute façon je vois pas ce que ça peut vous faire, ceux qui doivent le savoir le savent. Bref. Il ne reste plus beaucoup de temps. 6 jours. Et s'il ne vient pas je le tue. Mais cet aprèm' à confimé ce que je pensais de lui. Il n'aime pas quand il y a du monde. La question reste pour quoi: Pudeur ou honte? A vrai dire, j'ai pas envie de le savoir. Je sais que ces regards, ils sont à moi, que ses sourires, il me les donne. Parce que tout ces moments sont uniques et que toutes ces perches, c'est à moi qu'elles sont tendu. Sur scène, si tu savais, sur scène tu me tuera. Il y a ce quelque chose que je ne trouve dans aucun autre regard. Ce quelque chose que seulement deux hommes ont. L'un doit grandir, l'autre est perdu. Mais ce soir j'ai passé une bonne soirée. Pas excellente, pas inoubliable, mais une bonne soirée. Et c'est sans doute, même surement du au fait que tu étais là. Mais qu'est-ce que je parle de toi, c'est fou.

Photo du groupe, pendant le concert. J'ai pas beaucoup de photo où on voit David, mais on l'aperçoit derrière sa batterie quand même. Sinon Valentin et Dimitri aux guitares et au chant. Ouai, et ouia, y a deux photos de moi, et d'ailleurs je m'en fous, pour m'excuser vous avez qu'à vous dire que je suis une pétasse narcissique! Même si je n'en suis pas une, bref pas envie de me justifier, si ça vous plait pas, je vous emmerde et je rentre à ma maison.