C'est ma pire fête de la musique. Ma journée était organisée. Très bien organisée et tout s'est retourné contre moi. Je ne sais pas ce que j'ai fait, ni a qui je l'ai fait. Mais je sais que ce matin j'ai été réveillé par son portable à 7h puis à 9h par mon réveil. Et mon frère qui a décidé de me faire chier. Je sais vraiment pas pourquoi je mérite tout ça, y a peut-être une raison. Ou peut-être que ce n'est que de la colère gratuite. Hier soir j'ai pas pu le voir. Aujourd'hui non plus. Et je voulais pas qu'il me fasse la gueule, parce que c'est très trop dur, parce que sous mes grands airs je supporte pas quand on se fait la gueule, et puis voilà c'est fait, c'est dit, je l'aime plus que tout, parce que c'est comme ça, j'y peux rien, j'arrive pas a faire autrement. Parce qu'en ce moment je craque, j'en peux vraiment plus. J'ai loupé mon car donc je l'ai loupé lui. Et puis je voulais voir Benoît, parce que je sais que je le reverrai pas avant très longtemps. Et j'ai pas été foutu de lui dire, quand il m'a demandé avec qui je voulais être ce soir, que c'était avec lui que je voulais être. Parce que je voulais pas parler aux autres, je voulais pas faire ma faux cul pour faire genre je voulais bien les connaitre, moi je voulais être avec Benoît, parce que c'est comme ça. Et je me retrouve comme tous les soirs face à mon ordi à raconter ma vie sur un article, en pleurant et en toussant. Je men rend compte que même en ayant des amis, si on s'y prend pas bien on se retrouve tout seul. Et je me retrouve toute seule, à leurs souhaité qu'ils passent tous une bonne soirée. Je n'avais pas ma place là-bas, parce que j'ai pas envie qu'on me juge encore, qu'on note mes moindres faits et gestes, parce que mes amis ils passent au dessus depuis longtemps, parce qu'eux ils me connaissent. J'ai pas envie de jouer ce soir. J'aurai aimé être moi même, avec les gens qui savent. Et j'arrive pas à me calmer. J'ai pourtant l'habitude de tout relativiser. Mais on ne peut pas tout entasser. J'avais oublié à quel point ce sentiment de solitude me détruisait. J'avais oublié ce que c'était de se sentir délaissé. J'avais oublié cette sensation que de toute façon il n'y a aucune issue. J'évacue tout, toute ma journée, qui a été un fiasco du début à la fin. J'aurai mieux fait d'envoyer tout le monde se faire foutre et de rester dans mon lit. Passez tous une bonne soirée, moi je vais me coucher.
mad.about.you.math
Ah ouai, mais non. Et non.
Mardi 19 juin 2007 à 16:09
10 jours. This is it. Ground zero. Je stresses. C'est ridicule. Tout ça est ridicule. Pourquoi, pourquoi? J'ai peur. Plusieurs questions se pose. Soit je passe une excellente soirée, parce qu'il assume. (Il serait temps, mon chou, tu ne crois pas?) Soit je passe ma soirée à pleurer. Que va t-il en résulter, toute la question est là. C'est dingue que je ne pense qu'à ça. Moi aussi, je suis une manipulatrice et une calculatrice de merde. J'ai une raison à peine valable. Et après tout ce temps. 5 semaines. C'est tellement long. Qui sait, ça renforcera peut-être quelque chose qui commence à se construire. Ou peut-être que ça ne fera qu'empirer. Puis une semaine. Tous. Avec toi. Avec vous. J'ai hâte et j'ai peur, tellement peur. Parce que c'est indescriptible. Parce que j'attends. C'est vrai, peut-être pour rien. Mais je n'arrive pas à faire autrement. C'est dur. Non pire, impossible, je ne peux pas. Et puis même je ne veux pas. L'humain a cette capacité absurde à vouloir souffrir. A aimer sa souffrance, parce qu'au fond c'est tout ce qu'on a parfois. J'aime cette torture parce que c'est toi qui me la donne. Torture moi, blesse moi. Je veux souffir de ton ignorance, je veux pleurer de ta non-chalance. Notre relation n'existerai pas sans ça. Finalement ça sera peut-être toujours comme ça. On est peut-être voué à se fuir pour toujours. Dans des années, tu ne sera peut-être que le souvenir de l'homme que je n'ai jamais eu, et que je n'aurai jamais. Bien que je déteste regretter, je ne pourrai jamais oublier ça. Me demander qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour que ça ne marche pas.
-What do you want?
-You.
For-- For a whore lot of reasons that don't make any sence to me.
I-- I mean, what, we've been no three dates?
But, see, that's what's crazy.
That's what's crazy, because I know...
I know deep, like just down, just in this area that I just know that I want...
I want to be miserable.
Like, really miserable.
Because, hey, if that what it takes for me to be happy then...
- Hitch -
Cette chanson me fera pleurer si jamais...
-What do you want?
-You.
For-- For a whore lot of reasons that don't make any sence to me.
I-- I mean, what, we've been no three dates?
But, see, that's what's crazy.
That's what's crazy, because I know...
I know deep, like just down, just in this area that I just know that I want...
I want to be miserable.
Like, really miserable.
Because, hey, if that what it takes for me to be happy then...
- Hitch -
Samedi 16 juin 2007 à 20:14
J'ai l'air con avec mon genou bloqué! Je marche comme une mongole, et dès que je suis chez moi je met mon short de plage! La beafattitude quoi. Mais je suis tellement bien dedans! Je commence à aller mieux, alors bientôt je n'aurai plus rien à dire. Ca fait deux jours que je n'ai rien posté, c'est quand même inhabituel. Benoît, lui que je ne verrai plus jamais dans ma classe, m'a laissé un petit souvenir sur le bras droit. 6 bleus. Mais ils sont violet. Pour la fête de la musique, on pas prêt! Mais on fera avec. J'ai encore regardé The Girl Next Door. C'est mon film pourri préféré. Il m'a fait peur, lui. A me faire croire que c'était fini. A être méchant. Et puis il s'est résigné. He gaves up! Il avait la flemme, mon pauvre chéri. Ce soir je vais à la fête de la musique avec Arnaud. J'espère y voir Mathieu. (Mou pour les intimes... xD). Parce que je l'aime bien, en fait. Je sais pas si Môsieur (il ne se reconnaitra pas, mais moi je sais de qui je parle) vient toujours sur mon blog. Ca se pourrai bien. J'ai des doutes et des soupçons. Mais mon été ne sera pas gâché cette année. Non, ça c'est sur. Sinon, hier j'ai été voir Alex, qui s'est fait opérer du coeur, pour resserement artériel. J'ai tellement imagnié des trucs horrible sur son état physique que j'étais soulagé de voir qu'il pouvais parler en chuchotant et même regarder un film avec moi ou même manger. Il a une cicatrice d'au moin 20-25 cm qui part de son torse jusqu'au haut de son ventre. On a regarder Charlie et la Chocolaterie. En français. Mais cette fois je ne pouvais pas lui refuser. Il a commencé à décrocher vers la fin, alors dès que le film s'est terminé je suis rentré chez moi. J'ai quand même traversé Nantes en tram pour le voir. Pour ceux qui connaissent, j'ai fait Maire de Doulon-François Mitterrand et François Mitterrand-Mairie de Doulon. En écoutant le dernier album des Red Hot. J'attend avec une impatience incontenable. Si seulement je pouvais leur parler, mon Dieu, si seulement. Je radote par rapport au dernier article je sais. (Je Radote Chili Peppers.) Je crois que c'était le mot de la fin. Laissons les s'exprimer.
Jeudi 14 juin 2007 à 18:42
Mais que me vaut le plaisir de ce magnifique et simple sms? Illumination du cours de science-physique, le dernier de l'année. J'ai manquer au moins trois fous-rire, à côté de ce demeuré que je n'aurai plus jamais le plaisir d'avoir comme voisin en classe. La blague du déménageur, j'ai cru que j'allais mourir de rire mêlé à la honte et la fierté d'avoir dit une vanne aussi pourrie. Ca va un peu mieux, ça ira encore mieux quand ce sera les vacances pour de bon et pour tout le monde. J'ai finis Scar Tissue. Comme c'était bien. Et puis là, impossible de se dire que le héros n'existe pas, ou qu'il ne vit plus. Il est bien vivant, en tournée et clean depuis plusieurs années. Comme j'ai hâte de le voir. Si seulement je pouvais lui parler, leurs parler, ils me fascinent tellement. Ce serait un des plus beau et mémorable jour de ma vie. S'il y a bien un cadeau d'anniversaire qui me plairait ce serait ça. A la limite, mon amplis, j'ai besoin de personne pour le payer. Mais rencontrer ces Dieux vivants, ces génies, ces gars extraodinaire et pouvoir leurs parler, partager leurs monde parallèle ne serait-ce que le temps de quelques secondes, ce serait magique, irréel, tellement irréel.
Tiens, on est jeudi aujourd'hui.
Cabron - Red Hot Chili Peppers
Tiens, on est jeudi aujourd'hui.
Cabron - Red Hot Chili Peppers
Dimanche 10 juin 2007 à 23:18
Gros con, espèce de gros con.
Tu te rattrape bien
Mais sache que j'en ai pas fini avec toi
Tu va le regretter, je te préviens
Tu es le dernier, alors que tu aurai du être le premier.
Tu ne va pas t'en tirer comme ça
Avec ton petit sms, limite perso
Genre on se connait à peine.
23h35
Nan mais j'espère que c'était une blague
J'espère que tu t'es bien marré
Parce que moi ça m'a pas fais rire du tout
C'est loin d'être terminé, crois moi.