Dimanche 25 mars 2007 à 13:24

          


         
            J
'aimerai être traîtée de Pétasse, de Pouffiasse, de Connasse
                  De Courreuse d'hommes
            Juste comme ça, une fois de temps à autres
            Que l'on se retourne derière moi
            Et qu'on se dise que je suis fashion, comme tout l'monde
            Que je copie, que j'n'ai aucun style...


                        Détestez-moi, vous m'faîtes pitier...


Article de StripMyMind

Je t'aime fort, t'as pas idée
Bisous et passe une semaine de fou
Surveille mon abruti préféré
Et pense à moi
<3


A

Dimanche 25 mars 2007 à 11:29


Jeudi 22 mars 2007 à 21:41




Ma vie n'est qu'une boucle. Je relis mes articles, et je retrouve toujours des articles qui conviennent à mon état d'esprit. Tout n'est qu'un éternel recommencement. Et pourtant je continu ce blog parce que. Ca sent le printemps, ça pu l'amour. On est peu de chose tu sais. "je sais pas quoi te dire marie" Je ne sais pas non plus tu sais. Isn't it love, that we are feeling? Je m'appelle Marie-Marie. Et ça aussi c'est devenu une habitude.






Jeudi 22 mars 2007 à 20:02

J'aime bien le jeudi. Marie aussi. Elle me l'a dit un jour. Je ne sais pas ce que j'ai fais au monde, pour que la vie me sourie autant aujourd'hui. Ca a commencé dès la première heure. Une fille de ma classe m'a proposé d'aller manger chez elle, le lendemain, pour ensuite aller au théâtre avec la classe. J'étais tellement sur le cul que j'ai dit oui. Sans penser a rien d'autre que "merde, maintenant je suis acceptée, alors que je fais aucun effort pour l'être!" Et puis je me suis rappeleé dans la journée que j'avais dentiste, et que c'est précisement pour cette raison que ça posait problème de rentrer chez moi. Et puis contrôle d'SES. Trop nul. J'aime vraiment pas ça. La fille d'avant m'a prise en photo. Je ne sais encore pas pourquoi. Qui aurait voulu une photo de moi, il y a quelques années? Et puis je suis allé faire mes devoirs. Et puis je suis parti comme souvent dans le centre. Pour rien faire de particulié. J'ai pris le tram. J'ai été dans plusieurs boutiques, pour demander des renseignements. J'ai traversé beaucoup de fois la route. Et à chaque fois que quelqu'un me laissait passé et que je répondais à haute voix "merci" je voyais son visage s'illuminer d'un sourire. C'est tout ce que je voulais. Si je fais sourire les gens je suis heureuse, allez savoir pourquoi. Je ne suis pas tombé sur des misanthropes, bien trop presser pour à peine te jeter un regard hargneux et partir en trombe, n'oubliant pas l'orgeuil qui fera un jour exploser leurs têtes. Non. Pas de ça aujourd'hui. Tout le monde ma regardais aujourd'hui. Habituellement, quand je suis seule dans Nantes, je suis invisible. Là, à chaque fois que je regardais quelqu'un j'obtenais un regard en retour. Bizarre. Qu'ai-je pu bien faire. Même le vendeur de Violin m'a reconnu et il n'a pas fait la grimace, malgré le fait que j'ai prononcé a plusieurs reprise le mot "Michenaud". A commerce, un gentil monsieur, d'une cinquantaine d'années est venu me parler. Il avait un blouson rouge, et un petit ruban. Il m'a parlé pendant 10 minutes. Et il a finis par me demander si j'étais majeure. Et bien non. Je ne le suis pas, alors j'ai juste répondu que j'étais encore en seconde. Il m'a remercié de l'avoir écouter et m'a dit que j'avais une capacités d'écoute et que c'était très agréable. Il m'a dit que j'avais un beau sourire. Mais là je ne l'ai pas cru. J'étais parti pour faire quelque chose. Mais après qu'il m'ait parlé j'ai totalement oublié quoi. J'ai oublié pourquoi j'étais là. Et puis je suis allé prendre mon tram. J'ai été voir ma futur maison et j'ai beaucoup marché, avant de me rendre compte que la rue que je cherchais était sous mon nez. Des gens m'ont encore laissé passer, plusieurs fois. J'aime voir ce sourire qui se dessine, a chaque fois que je repond poliment "merci", aux personnes dans les voitures, qui ne peuvent bien sur pas m'entendre. Et puis j'ai marché dans cette rue. Elle me donnait envie de danser. Je l'aurai bien fait si je n'avais pas eu mon sac sur le dos. Les Red Hot Chili Peppers sur les oreilles. Et la voix douce d'Anthony qui me murmure "We are the ones that will make you feel better". (je te traduirais). J'ai pris le bus 58 et je suis arrivé a Boulevard de Doulon. Le retour à la réalité en arrivant au lycée. Gabriel désagréable. Pas envie de rire, pas envie de parler. Un peu faim. Arnaud arrive avec ses manches de filles. Et puis on mange. Gabriel tente de s'envoler. Et je me fais engueuler parce que je lui demande d'arrêter. Et puis après les cours je rentre, sans musique. Parce que j'ai pas envie. Toujours pas lassée de ((snow)) pourtant. Et puis en rentrant je croise un couple de vieux. Je les salut poliments. Pas un regards, pas un son sorti de leurs bouches, juste le bruits de leurs charentaises sur les graviers.

Mercredi 21 mars 2007 à 22:01

J'y repense et c'est bizare. Toi a première vu impuissant sur ce qui m'arrive, mais qui vient juste au bon moment pour me remonter le moral. Tu m'a aidé. Aidé a passer au dessu de tout ça, aidé a oublié cette raison que je m'etais crée à son égard. Tu m'a dispensé de cette sorte de dependance, qui faisait qu'il me rendait triste. Tu ne m'a en aucun point été inutile. Chaque rencontre a un but. Et je crois que j'ai plutot bien saisi en quoi a consisté le tien dans ma vie. Merci. Je ne te l'ai pas dis depuis longtemps.


                    Impossible de te reconnaitre ici.
                    Mais toi tu saura que c'est toi.

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