Chier.
mad.about.you.math
Ah ouai, mais non. Et non.
Dimanche 14 octobre 2007 à 9:26
Je savais, putain, je savais. Prends moi pour une conne, fait croire ce que tu veux aux autres mais pas à moi. Ne le dites à personnes. Une sacré claque. J'ai rêvé que tout ça n'était qu'un rêve, et qu'il allait bien, j'aurai tellement préféré.Pourquoi je le connais à peine, pourquoi j'ai pas pu l'aider comme il le fallait, pourquoi je me sentais tellement impuissante, pourquoi j'ai aussi un peu l'impression que c'est de ma faute.En fait je tiens vachement à lui, et je sais même pas pourquoi. P't'être qu'il le saura jamais, sans doute d'ailleurs. C'est comme ça, mais putain, faites qu'il aille bien, je sais pas ce que je ferai sinon. Ca va déjà être dur de revenir en cours lundi. Sauf que quelque chose aura changé. Maintenant je sais.
Samedi 13 octobre 2007 à 0:19
J'ai presque l'air intelligent, vous ne trouvez pas?
Mercredi 10 octobre 2007 à 21:30
Parce que oui je suis toujours là. Parfois à me demander et d'autre à attendre.
Passive ou active. Je me suis bien rendu compte qu'avant de pouvoir aimer qui
que ce soit, il faut d'abord s'aimer soit-même. Parce que la confiance en moi me
viendra quand je saurai m'accepter. Alors j'attends encore et toujours. Je pleurs
sur des chansons stupide et je ris pour des choses débile. La journée, ça a l'air d'aller.
Parce que je ne suis pas concentré sur ce qui ne va pas. Mais dès que mes yeux sont
dans le vague et que ma pensée s'envole ou plutot s'écrase sur de sujets moins agréable,
cela ce voit, je le sais bien. Je pensais que ça passait innaperçu, mais en fait non. Alors
voilà. Je me tais, puis je rigole. J'embête les gens pour compenser ce manque d'affection,
parce que ça crée malgré tout un lien, mon point de rattachement, je fais chier les gens.
Et c'en est même devenu une habitude, je ne m'en rend plus compte. J'ai besoin d'occuper,
mes mains, d'occuper mon esprit, de dire des choses stupide et de faire des bruits bizarre,
même si personne ne les entends. Avant je faisais tout ça pour qu'on me remarque, mais
maintenant j'en ai plus rien a faire.
Passive ou active. Je me suis bien rendu compte qu'avant de pouvoir aimer qui
que ce soit, il faut d'abord s'aimer soit-même. Parce que la confiance en moi me
viendra quand je saurai m'accepter. Alors j'attends encore et toujours. Je pleurs
sur des chansons stupide et je ris pour des choses débile. La journée, ça a l'air d'aller.
Parce que je ne suis pas concentré sur ce qui ne va pas. Mais dès que mes yeux sont
dans le vague et que ma pensée s'envole ou plutot s'écrase sur de sujets moins agréable,
cela ce voit, je le sais bien. Je pensais que ça passait innaperçu, mais en fait non. Alors
voilà. Je me tais, puis je rigole. J'embête les gens pour compenser ce manque d'affection,
parce que ça crée malgré tout un lien, mon point de rattachement, je fais chier les gens.
Et c'en est même devenu une habitude, je ne m'en rend plus compte. J'ai besoin d'occuper,
mes mains, d'occuper mon esprit, de dire des choses stupide et de faire des bruits bizarre,
même si personne ne les entends. Avant je faisais tout ça pour qu'on me remarque, mais
maintenant j'en ai plus rien a faire.
Dimanche 7 octobre 2007 à 19:14
Une légère envie de violence quand elle relace ses bas, je ne suis plus a vendre, Houna je n'suis plus comme ca , des rumeurs adolescentes disent que je ne suis pas à toi et je pense qu'une part de vrai se cache. Dis moi si j'dois partir ou pas, dis moi si tu aimes ca, car je suis fou de toi, quand tu n'm'appartiens pas. Une violente envie de descente lorsque t'embrasses ces gars, je n'ferais point l'enfant tout cela ne m'atteint pas, des rumeurs adolescentes disent que je ne suis pas, un homme a femmes et rien d'autre qu'un homme a toi. Quand tu me mord ou sa derange, et tu m'attaches les bras, quand je fais sautiller sa frange
ses cris se tirent dans les graves, les voyeurs en redemandent, moi je ne veux que Houna, des plus belles des plus belles jambes et de la place pour trois.
Ca fait mal de se dire qu'on se reconnait encore dedans. Bordel de merde.